En réaction, c’est un nouveau format d’entretien qui fait réagir mon intervenant aux citations que je lui propose.
Réaction inconditionnellement libre !
Monsieur Janvier, merci de tenter l’expérience ! Voici la première citation :
L’homme d’âge moyen élevé, vacciné, revacciné, débarrassé de ses microbes, habitué aux médicaments, a moins de chances d’en sortir qu’un autre qui ne sait rien de tous ces remèdes. La basse mortalité des époques paisibles ne donne pas la mesure de la santé véritable ; elle peut, d’un jour à l’autre, faire place à son contraire. Il se peut même qu’elle provoque des maladies encore inconnues. Le tissu des peuples devient fragile.
Ernst Jünger, Traité du rebelle ou le recours aux forêts (1951)
Claude Janvier : 1966 : j’ai 12 ans et je regarde les étoiles, accoudé à la fenêtre du rez-de-chaussée de mon HLM dans une banlieue sordide. La voûte céleste m’amène à me poser des questions, et pas des moindres. « Qui suis-je ? Où vais-je ? Les étoiles dans le ciel sont-elles habitées ? Impossible qu’on soit les seuls habitants de cet univers. Oui, mais si nous ne sommes pas les seuls, quid des religions terrestres, etc. »
Le lendemain, j’essaye d’en discuter avec mes copains de classe et la majorité des réponses que j’ai reçu étaient : « Pourquoi tu te poses ce genre de questions ? Tu te tortures la tête pour rien. Fais comme moi : un bon cinoche, un flipper, un match de foot et les nanas – la belle vie, quoi ! «
1974 : j’ai 20 ans et j’effectue mon service militaire à Tahiti. Quand on me l’a proposé, je n’ai pas hésité une seconde. Sable fin, soleil, vahinés, mer du Sud… J’avais oublié un « détail » ! L’explosion comme chaque année, d’une bombe atomique à Mururoa. Le tir a été « raté », si tant est que l’on peut se demander légitimement ce qu’est un tir « réussi » ! Résultat, plus de 160 000 contaminés à leur insu. Nous n’étions qu’une poignée à l’époque pour clamer haut et fort l’inutilité des essais atomiques. La majorité des appelés acquiesçait tranquillement.
2023 : avec les progrès techniques et électroniques, j’ai cru que les mentalités des êtres humains allaient évoluer au fil du temps. Grave erreur. La fosse abyssale s’est élargie davantage. La majorité des gens ne se posent toujours pas de questions. Coincée entre le lavage de cerveau quotidien avec en tête de gondole « L’Agence France Propagande », et les ordres de l’état profond qui nous dirige et qui ne veut absolument pas le bien être du peuple, les braves gens ont obéit en masse à un délire confinatoire, et à des injections massives visant à altérer pour toujours leur système immunitaire à court, moyen et long terme. Ils obéissent à Big Pharma sans sourciller et aux cartels agro-alimentaires. L’Organisation Morbide de la Santé (OMS), depuis 2008, a inscrit la maladie X – encore inconnue – dans leur liste de maladies graves. Cherchez l’erreur !
« Le tissu des peuples devient fragile ». C’était vrai à l’époque et malheureusement, cela s’est amplifié. Aujourd’hui, l’équilibre des peuples ne tient plus qu’à un fil.
Car les braves gens ne se posent toujours pas de questions. Uniquement centrés sur leur « pré-carré ». Leur famille, leur maison, leur SUV et leurs vacances. Le reste, ne les concerne pas. Grave erreur ! Car l’oligarchie mondiale financière apatride avec leurs valets obéissants, – les états profonds occidentaux -, souhaitent la destruction de la majorité de la population planétaire.
Heureusement, la minorité éclairée refusant l’esclavage, s’élargit de plus en plus. Je ne peux que souhaiter que cela progresse encore plus. L’issue est proche. Soit le monde unipolaire Étasunien gagne, soit le monde multipolaire l’emporte. Il est à souhaiter que ce soit le monde des BRICS qui triomphe.
2ème citation :
On voit comment Bill Gates et ses amis de Davos ont raisonné pour mettre au point cette opération en deux parties : coronavirus/Great Reset. Si le coronavirus avait été vraiment dangereux, il y aurait eu un risque réel que Bill Gates, Klaus Schwab et Christine Lagarde en meurent aussi. Il faut donc que le danger réel soit bénin, quasiment inexistant, mais que l’idée du risque soit diffusée le plus largement possible, ce dont les médias se chargent, induisant un vent de panique dans la population, sans aucun fondement réel, mais qui facilite l’acceptation des solutions mises en avant, quelles qu’elles soient, même les plus aberrantes et délirantes, comme les confinements de masse, les masques dans la rue, les vaccins OGM, etc. Chaque virus, réel ou virtuel, sera désormais le prétexte à de nouvelles campagnes de vaccination, mais aussi à des reconfinements et à prolonger les gestes barrières, le port du masque et la distanciation sociale.
Lucien Cerise, Rivarol n°3456
Claude Janvier : Les dirigeants de Washington ont déjà utilisé à plusieurs reprises des virus contre des populations. Non seulement ils ont utilisé massivement des armes chimiques contre le Vietnam, mais ils ont fait tester des virus transformés en armes biologiques dans le métro de New York en juin 1966. De plus, ils n’ont pas hésité à utiliser plusieurs virus contre Cuba tantôt pour détruire des cultures, tantôt pour saboter des filières d’élevage ou provoquer des épidémies. On voit mal Bill Gates, Klaus Schwab et d’autres risquer leur vie en envoyant des virus incontrôlables, c’est vrai. Mais, étant donné qu’ils sont atteints de psychose, tout peut arriver. Le risque zéro n’existe pas, surtout dans les domaines médicaux, où un virus transformé peut échapper à son créateur.
Une course effrénée pour une suprématie planétaire peut se transformer en cauchemar. En exemple, il est utile de rappeler que plus de 2000 bombes nucléaires ont explosées sur Terre depuis les années 50, polluant et irradiant toute la surface du globe. Des millions de gens sont morts à cause des radiations, que ce soit directement ou indirectement. Ceux qui ont conçu cette aberration auraient très bien pu en mourir aussi.
La crise sanitaire mondiale est bien loin d’être terminée. En effet, si elle est achevée au plan médical, elle s’est installée dans le paysage et les pouvoirs politiques des USA, de l’Union européenne et de Paris continuent insidieusement à conditionner les esprits. Doublée d’une crise énergétique factice fabriquée de toute pièce avec l’appui d’écolos-allégés à courte vue, d’une menace de récession et de pénurie, la majorité de la population semble être anesthésiée, voire atomisée. Le réveil risque d’être pénible pour un grand nombre de gens.
3ème citation :
… Bientôt on vous fabriquera des hommes dans des flacons, sur commande, spécialisés dans l’œuf et dûment conditionnés dès l’enfance… Déjà on retire à vos femmes leur rôle maternel, déjà on les contraint à des travaux cycliques et asexués, déjà on limite votre travail à un ou deux gestes, toujours les mêmes ; déjà on vous abrutit par la drogue, la politique et la spécialisation pour que vous soyez mûrs et fin prêts pour la banalisation.
Henry Vincenot, Le maître des abeilles (1989)
Claude Janvier : Le wokisme obtient tous les jours des avancées signi ficatives. Ce que l’on pensait impossible hier, comme la PMA, la GPA et l’eugénisme, est une réalité tangible aujourd’hui. La compromission des gouvernants, la complicité des « progressistes » et de l’essentiel des partis politiques de « gauche » jusqu’à la « droite républicaine » offrent au wokisme une autoroute sans virages. Son origine se situe en juin 1965 à la suite d’un discours de Martin Luther King exhortant les jeunes américains à « rester éveillés » et à être une « génération engagée ». On ne peut qu’être en accord avec ce but qui était destiné à lutter contre le racisme omniprésent à l’époque aux USA. Mais, depuis les années 70, ce but étant dévoyé par des philosophes dits « post-modernes » (de la French Theory), comme Foucault, Derridat et Bourdieu, le monde est devenu binaire. Les normaux d’un côté, et les dominés, en tout genre, de l’autre, composés de petites ethnies, de communautés et, bien entendu, de groupes exprimant un ou plusieurs penchants sexuels hors de l’hétérosexualité.
La majorité de la population d’une nation doit désormais obéir à des minorités. La « cancel culture », qui veut dire la culture de l’effacement ou de la déconstruction, est le bras armé du wokisme, dont l’objectif est de tout déconstruire. Ce sont les visées de l’ONU, de l’UE, du FMI, de la CEDH et de toutes les ONG. Vous noterez bien qu’on en revient toujours aux buts d’une certaine oligarchie internationale.
Il est à noter que le wokisme, la théorie du genre et le lobby du LGBétisme (LGBTQIA+) sont largement promus par des multinationales, comme Coca Cola, L’Oréal et Balenciaga, qui est, selon France-Soir, accusée de promouvoir impunément la pédopornographie. Il est à noter aussi que du sommet de l’État jusqu’aux municipalités de petites villes, tout est fait pour vous influencer dans la voie de la débauche : drapeaux LGBTQIA+ omniprésents dans les publicités, sur les plages (parasols, coupe-vent, etc.), dans les commerces, tout est bon pour mettre l’accent sur ce fanion coloré, comme les passages piétons à Paris, par exemple !
Du développement de la ligne Azur, mise en place depuis 1997 et que Vincent Peillon, ancien ministre de l’Éducation nationale, s’est empressé de propulser, puis la circulaire Jean-Michel Blanquer, précédent ministre de l’Éducation nationale en 2021, pour en arriver il y a peu à Pap Ndiaye, qui semblait davantage plus préoccupé par l’éducation sexuelle dans les crèches et l’école primaire que de rehausser le niveau scolaire de nos enfants. À l’évidence, tout est bon pour saboter et pervertir l’éducation et l’instruction de nos enfants. Pour rappel, ladite circulaire Blanquer stipule que les enfants peuvent entendre changer de genre, sachant que moins de 1 % d’entre eux souffrent de problèmes liés à leur orientation sexuelle.
Quant à sieur Pap Ndiaye, voici la teneur de son tweet en date du 3 février 2023 : « Une école accueillante pour les élèves LGBT+ est une école accueillante pour tout le monde », qui confirme ses propos prononcés lors de son interven tion, dont je reproduis ci-après un long extrait : « Bonjour. Je voudrais vous parler de l’accueil des élèves LGBTQ+A dans nos établissements scolaires. C’est quelque chose de tout à fait essentiel. Tous les élèves doivent être bien accueillis. Pour cela, nous devons nous mobiliser contre toutes les formes de harcèlement que les élèves LGBT peuvent subir. Nous créons un observatoire LGBT+ dans chaque académie pour former et sensibiliser. Il y a désormais des élèves ambassadeurs, des adultes référents que nous allons spécifiquement former sur les questions LGBT. En matière de communication, la journée du 17 mai 2023 sera la journée de lutte contre l’homo phobie et la transphobie. Et puis, je serai au premier rang pour sensibiliser la communauté éducative à ces questions et à la lutte contre toute forme de violence verbale ou physique que les élèves LGBT+ pourraient subir… »
N’est-ce pas là un bel exercice de démagogie, quand on sait que le niveau de QI et d’instruction descend en flèche, alors que notre ministre semble plus soucieux par ce genre de lutte « sexuelle » que par l’enseignement des mathématiques ou d’autres sciences dures ?
Si je n’ai personnellement rien contre le fait que chacun puisse disposer de son corps comme il l’entend et faire ce qu’il veut, à partir du moment où cela se fait entre adultes consentants, il ne faut surtout pas que cela devienne du lobbying imposé au détriment de nos valeurs familiales, culturelles et religieuses ances trales. Imposer à Bordeaux, par exemple, une drag queen pour un atelier de maquillage pour enfants de 18 mois à 4 ans ne relève certainement pas de l’art ni de l’instruction, mais de la perversité déguisée et travestie en lutte contre l’intolérance.
Le wokisme, la théorie du genre, le lobby LGBTQIA+ sont aussi le cheval de Troie poussé par la minorité oligarchique mondiale, afin d’anéantir intégralement nos sociétés occidentales ainsi que le socle de leurs identités propres.
Arthur Sapaudia 